Les vols paraboliques Zéro G ont commencé dès la fin des années cinquante : lire ici. Aujourd'hui, différents acteurs sont sur les rangs pour proposer aux scientifiques, puis aux touristes, des missions de ce genre à une altitude de 12'000 mètres et moins.
USA
Go Zero G / Space Adventures
Tout d'abord aux USA avec la compagnie privée Zero Gravity Corporation (Go Zero G !) basée à Arlington (Virginie) ! qui propose des vols depuis : Austin (Texas), Las Vegas (Nevada), Los Angeles, San Francisco et Seattle (Californie), Miami et Orlando (Floride), Nashville (Tennessee), New York et Washington. Le prix le plus élevé est de 4'950 dollars + les taxes. Mais il est aussi possible d'y faire envoyer des paquets pour environ 200 dollars. Le tout est assuré par un Boeing 727 modifié.
Incredible Adventures
Un autre acteur, pas connu, est l'entreprise Incredible Adventures de Sarasota (Floride) qui propose des vols paraboliques depuis St Petersburg (FLA) dans un petit avion privé bien aménagé (Rockwell Commander) qui permet d'obtenir les mêmes sensations, moins haut et moins longtemps. Pour plus de 2'500 dollars.
EUROPE
France
Air Zero G
Air Zero G est le fruit d'un partenariat entre Novespace, filiale du CNES, qui offre des campagnes de vols paraboliques scientifiques depuis près de 25 ans, et Avico, premier courtier aérien français, qui ont uni leurs ambitions et savoir-faire pour permettre au public non professionnel d'accéder à l'une des composantes les plus spectaculaires du vol spatial : l'apesanteur.
Les vols Air Zero G, commercialisés par Avico, sont organisés par Novespace à bord de l'Airbus A310 ZERO-G, dont elle est propriétaire, depuis ses installations de la zone aéroportuaire de Bordeaux-Mérignac.
Le CNES, dans le cadre de sa politique éducative et de diffusion de la culture scientifique qu'il poursuit avec différents organismes (universités, musées scientifiques, etc.), prend en charge plusieurs places sur des vols Air Zero G, attribuées à des étudiants ou l'un des ses partenaires.
Prix : 6'000 Euros
Prix : 6'000 Euros
Suisse
Dovespace
En Suisse, le voyagiste bernois Dovespace de Berthoud opère avec Novespace des vols paraboliques.
Après une première série de paraboles en septembre 2015, la 2e mission scientifique helvétique s’est donc déroulée le 22 octobre depuis le tarmac de l’Aérodrome militaire de Dübendorf.
Une initiative très importante initiée par le Prof. et Dr Olivier Ulrich de l'Université de Zurich, ainsi que par Natalie Dové, CEO de Dovespace. Ce projet a permis de tester la faisabilité de financement
de la recherche en apesanteur par des partenariats public/privé. L’Université de Zurich contribue ainsi, par cette initiative, au rayonnement de la recherche suisse. Les vols paraboliques sont les seuls moyens dont disposent les scientifiques pour réaliser en personne leurs expériences en apesanteur. L’équipe conduite par le professeur Ullrich envisage d’établir une plateforme pour les sciences de la vie, la médecine et les recherches appliquées en science physique, en multipliant les vols. L’Université de Zurich travaille en étroite collaboration avec Novespace, filiale du Centre national d’études spatiales et l’Armée de l’air suisse qui a mis à disposition la base aérienne de Dübendorf.
Après une première série de paraboles en septembre 2015, la 2e mission scientifique helvétique s’est donc déroulée le 22 octobre depuis le tarmac de l’Aérodrome militaire de Dübendorf.
Une initiative très importante initiée par le Prof. et Dr Olivier Ulrich de l'Université de Zurich, ainsi que par Natalie Dové, CEO de Dovespace. Ce projet a permis de tester la faisabilité de financement
de la recherche en apesanteur par des partenariats public/privé. L’Université de Zurich contribue ainsi, par cette initiative, au rayonnement de la recherche suisse. Les vols paraboliques sont les seuls moyens dont disposent les scientifiques pour réaliser en personne leurs expériences en apesanteur. L’équipe conduite par le professeur Ullrich envisage d’établir une plateforme pour les sciences de la vie, la médecine et les recherches appliquées en science physique, en multipliant les vols. L’Université de Zurich travaille en étroite collaboration avec Novespace, filiale du Centre national d’études spatiales et l’Armée de l’air suisse qui a mis à disposition la base aérienne de Dübendorf.
The Zero G Flights Worldwide
The Zero G Parabolic flights began in the late fifties: read here. Today, actors are in the running to provide scientists and tourists, missions of this kind at an altitude of 12,000 meters or less.
USA
Go Zero G / Space Adventures
First of all, in the USA with the Zero Gravity Corporation (Go Zero G!) a private company from Arlington (Virginia) which offers flights from : Austin (Texas), Las Vegas (Nevada), Los Angeles, San Francisco and Seattle (California), Miami and Orlando (Florida), Nashville (Tennessee), New York and Washington. The highest price is US $ 4,950 + tax. But it is also possible to make sending packets for about $ 200. All delivered by a modified Boeing 727.
Incredible Adventures
Another actor, not known, is the company Incredible Adventures of Sarasota (Florida) offering parabolic flights from St Petersburg (FLA) in a small, well-appointed private plane (Rockwell Commander) which provides the same feeling less top and shorter. For more than 2,500 dollars.
EUROPE
France
Air Zero G
Air Zero G is a partnership involving Novespace, a CNES subsidiary, dedicated to scientific parabolic flights for 25 years, and Avico, French airline broker leader. The companies have joints their ambitions and know-how to allow non-professional persons to access to the most spectacular aspect of space flight : weightlessness.
Air Zero G flights are marketed by Avico and operated by Novespace on board ZERO-G Airbus A310, owned by Novespace, from Novespace Bordeaux-Mérignac airport facilities.
-> www.airzerog.com
Suisse
Dovespace
En Suisse, le voyagiste bernois Dovespace de Berthoud opère avec Novespace des vols paraboliques.
Après une première série de paraboles en septembre 2015, la 2e mission scientifique helvétique s’est donc déroulée le 22 octobre depuis le tarmac de l’Aérodrome militaire de Dübendorf.
Une initiative très importante initiée par le Prof. et Dr Olivier Ulrich de l'Université de Zurich, ainsi que par Natalie Dové, CEO de Dovespace. Ce projet a permis de tester la faisabilité de financement
de la recherche en apesanteur par des partenariats public/privé. L’Université de Zurich contribue ainsi, par cette initiative, au rayonnement de la recherche suisse. Les vols paraboliques sont les seuls moyens dont disposent les scientifiques pour réaliser en personne leurs expériences en apesanteur. L’équipe conduite par le professeur Ullrich envisage d’établir une plateforme pour les sciences de la vie, la médecine et les recherches appliquées en science physique, en multipliant les vols. L’Université de Zurich travaille en étroite collaboration avec Novespace, filiale du Centre national d’études spatiales et l’Armée de l’air suisse qui a mis à disposition la base aérienne de Dübendorf.
Après une première série de paraboles en septembre 2015, la 2e mission scientifique helvétique s’est donc déroulée le 22 octobre depuis le tarmac de l’Aérodrome militaire de Dübendorf.
Une initiative très importante initiée par le Prof. et Dr Olivier Ulrich de l'Université de Zurich, ainsi que par Natalie Dové, CEO de Dovespace. Ce projet a permis de tester la faisabilité de financement
de la recherche en apesanteur par des partenariats public/privé. L’Université de Zurich contribue ainsi, par cette initiative, au rayonnement de la recherche suisse. Les vols paraboliques sont les seuls moyens dont disposent les scientifiques pour réaliser en personne leurs expériences en apesanteur. L’équipe conduite par le professeur Ullrich envisage d’établir une plateforme pour les sciences de la vie, la médecine et les recherches appliquées en science physique, en multipliant les vols. L’Université de Zurich travaille en étroite collaboration avec Novespace, filiale du Centre national d’études spatiales et l’Armée de l’air suisse qui a mis à disposition la base aérienne de Dübendorf.
